Les talons tapotaient la vieille pierre tandis que les orteils côtoyaient la brise nocturne. Ce léger vent, chaud et si tendre, je l'adorais. De tous les choix possibles, mourir les cheveux au vent me parût bien charmant. Quelque chose de poétique sans doute, alors que les longs cheveux noirs cacheraient la stupeur du vide. Des … Lire la suite Il est temps de mourir